L’Empereur de Paris – Vincent Cassel nous emmène au 19ème siècle avec succès

Salut,

Si tu as lu mon dernier article concernant l’annonce de mon absence, tu dois certainement te demander pourquoi celui-ci sort aussi rapidement derrière. Et bien la réponse est que j’avais très envie de te parler du film « L’Empereur de Paris », que j’ai eu la chance de voir en avant-première le 21 novembre 2018 et j’ai donc pris le temps d’écrire cet article entre les cours, les visites touristiques et les quelques heures de sommeil par nuit.

Lors de cette avant-première, j’ai eu le privilège de voir Vincent Cassel et Jean-François Richet en vrai et ils ont pu nous donner quelques secrets de tournage, ainsi que plusieurs anecdotes.

Ce film est officiellement sorti dans les salles de cinéma le 19 décembre 2018. L’histoire se passe sous le règne de Napoléon, quelques années après la révolution française. Elle raconte la vie du célèbre Eugène-François Vidocq. Connu pour avoir été emprisonné plusieurs fois et pour avoir à chaque fois réussi à s’évader. Il va entrer dans la police française pour tenter d’effacer ses crimes et obtenir une lettre de grâce. A cause de ses résultats exceptionnels, il se mettra à dos les policiers classiques ainsi que la pègre qui mettra sa tête à prix.

Avant de continuer, je voulais juste m’arrêter un instant sur le casting qui est ma fois, plutôt intéressant.

Nous retrouvons donc Vincent Cassel dans le rôle de François Vidocq. Je l’ai trouvé exceptionnel dans ce rôle. J’aime beaucoup cet acteur depuis toujours, mais je l’ai trouvé particulièrement impressionnant dans ce rôle qui semblait être fait pour lui. Je l’ai vu pour la première fois dans « Black Swan » il y a quelques années. Ayant apprécié son interprétation, je l’ai par la suite vu dans « Un moment d’égarement » réalisé par Jean-François Richet lui aussi, puis dans « La Belle et la Bête » et finalement dans « L’Empereur de Paris ».

L’actrice écossaise Freya Mavor détient le rôle d’Annette, la jeune femme qui tombe amoureuse de Vidocq. Elle n’a pas encore une grande carrière derrière elle, mais on a pu notamment la voir dans la série britannique « Skins ». August Diehl, un acteur d’origine allemande que je ne connaissais pas avant ce rôle interprète Nathanael de Wenger, un ancien prisonnier du Bagne. Son travail sur ce personnage est à saluer. Pour terminer sur le casting, Monsieur Fabrice Luchini fait lui aussi parti de ce film. Il porte les traits de Joseph Fouché, ministre de la police.

Concernant l’histoire du film, elle se base principalement sur la carrière de policier de Vidocq et non pas sur ses délits et crimes.

Si tu as lu mes autres articles, ou que tu me suis depuis la création du blog, tu dois certainement connaître ma passion pour l’histoire. Malgré cela, je ne suis pas une experte de cette époque là. Je ne pourrais donc pas te dire si tout s’est réellement produit ainsi. Cependant, si nous faisons confiance aux explications données par le réalisateur, soit Jean-François Richet durant l’avant-première, ce film devrait être fidèle à son époque concernant les costumes, les décors et les dialogues. 

Ce que j’ai particulièrement aimé dans ce film, c’est que dès le début, on est mis dans le bain. La première minute nous fait comprendre à quoi nous attendre pour la suite.

Vidocq arrive dans un bagne flottant, dans lequel se trouve des centaines de criminels. Il comprend très vite que sa réputation le précède et que le chef des prisonniers veut sa peau.

De là, commence une bagarre qui semble si réaliste. Lors d’un interview, Vincent Cassel a expliqué avoir proposé une méthode de combat particulière pour cette scène et certaines autres.

Alors qu’il est condamné à devoir sauter du bateau et mourir, il réussi à s’en sortir et à sauver un ami de la noyade. Depuis ce moment, il est en cavale.

Pour le reste du film, il se déroule plusieurs années plus tard, alors qu’il s’est fait oublié.

Des hommes l’accusent d’avoir tuer quelqu’un, ce que Vidocq dément. Pour éviter la guillotine, il propose d’intégrer la police et d’arrêter les membres de la pègre parisienne.

 L’ancien chef des criminels en entend parler et veut l’arrêter. Vidocq, lui, souhaite plus que tout tuer cet homme, pour se venger.

Voilà pour le résumé détaillé du début du film. Je ne vais pas aller plus loin, car je ne voudrais pas spoiler si tu ne l’as pas encore vu. 

Ce film est génial ! Que tu aimes l’histoire ou pas, il faut aller le voir au cinéma. L’histoire est si intéressante et les personnages si attachants. Les costumes sont splendides et les décors encore plus. Durant le film, on voit la construction de l’Arc des triomphes. Pour la petite histoire, quelques jours après avoir vu ce film, j’ai appris que des casseurs avaient endommagé ce monument historique. J’en ai eu les larmes aux yeux. Les images de sa construction dans le film me sont remontées et j’ai eu comme un pincement au cœur. Vincent et Jean-François eux-même l’ont dit lors d’une interview dans l’émission Quotidien sur TMC.

Si je devais résumer ce film avec seulement quelques mots je dirais :

Bagarres, coups de feu, amour, amitié, trahison

Pour terminer cet article, je voulais partager avec toi quelques explications données par Vincent Cassel et Jean-François Richet durant l’avant-première. Je sais que j’ai été extrêmement chanceuse d’avoir pu y aller, alors je souhaite pouvoir te le faire partager à toi aussi.

Premièrement, Jean-François Richet a partagé quelques secrets de tournage. Il a notamment raconté une petite anecdote concernant la couleur d’une veste. Vincent Cassel devait porter une veste de couleur verte pour une scène, seulement, le réalisateur (Richet) a demandé à ce qu’il se change expliquant que cette teinte de vert n’était pas utilisée pour la confection des vêtements à cette époque. Ce qui démontre que l’équipe du film a travaillé très dur pour rendre un film de qualité et surtout réaliste.

Vincent Cassel, quant à lui, a raconté brièvement l’histoire du personnage pour que nous comprenions mieux ses agissements et son caractère. Vidocq a été emprisonné pour avoir tué le mari de sa maitresse lors d’un duel. Vincent explique qu’il n’a pas tué cet homme pour le plaisir, mais qu’il l’a fait pour se défendre. Il faut savoir aussi qu’à l’époque, les duels étaient interdits en France. Ce que nous comprenons donc, c’est que Vidocq n’est pas un « meurtrier », il n’est pas dangereux et n’a donc (peut-être) pas mérité d’être enfermé.

Pour terminer, Vincent Cassel explique aussi que cet évènement n’est pas présent dans le film et qu’il faudrait voir si cela sera ajouté dans le 2. Ceci est bien évidemment une blague, car il n’a jamais été question de faire un deuxième film.

J'aurais beaucoup aimé partager les vidéos prises durant cette avant-première, mais ce site ne permettant pas de le faire, je suis dans l'obligation ne renoncer. Si tu souhaites tout de même les voir, malgré leur qualité désastreuse due à mon ancien téléphone portable, je t'invite à aller sur la page instagram du blog en cliquant ici ou en suivant le lien dans le bandeau à gauche de l'écran.

Voilà pour ce qui est de l’article concernant « L’Empereur de Paris ».

L’as-tu vu ? Qu’as-tu pensé de ce film ? Aimes-tu Vincent Cassel ? Dis-moi tout dans les commentaires !

A bientôt pour un nouvel article !

Elodie